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Parce que chaque projet est une chance de bâtir un avenir à impact positif, Delta assurances entité du groupe candide, s’engage. Mais, s’engage à quoi ? C’est ce que nous allons découvrir à travers cette interview croisée de nos deux directrices générales, Isabelle Neuvialle et Marie Andrieu.
Marie, Isabelle vous venez de participer à la 2ème session de la CEC, que représente la CEC ?
La CEC c’est la Convention des Entreprises pour le Climat. Cette convention a pour but de mettre en mouvement des dirigeants afin qu’ils prennent conscience de l’enjeu climatique et mettent en œuvre des solutions concrètes dans leurs entreprises. La convention se décline par région dans toute la France. Notre groupe, participe à la CEC de Provence Corse. Cela consiste en un programme très engageant avec 65 entreprises de la région représentées par 130 dirigeants. Il y aura 9 jours de parcours sur 10 mois de travail collectif. L’objectif est d’aboutir à l’issue de ce programme, à une feuille de route.
Qu’est ce qui a motivé le groupe candide dont l’entité Delta assurances fait partie, à s’engager auprès de la CEC ?
Nous étions déjà engagés dans une action RSE en interne, et lorsque nous avons été sollicités pour participer à cette convention, nous avions l’envie de contribuer et nous impliquer dans cet immense chantier, de réfléchir à comment faire évoluer notre business model pour intégrer davantage cette dimension sociétale, là où les pouvoirs publics sont finalement peu engagés. Nous voulons aller encore plus loin.
Quelle expérience avez-vous vécu lors de la première session de la CEC ?
Il n’y a pas vraiment de mot pour décrire cette première session. Celle-ci s’appelait « la claque », comme son nom l’indique, c’est exactement l’effet que cela a produit sur nous.
Qu’avez-vous retenu ?
Parler d’urgence climatique c’est prendre la mesure de ce qui est déjà là, devant nos yeux et que nous ne pouvons ignorer. Nous prenons conscience que le seuil de non-retour est atteint. Après ce constat, nous devons agir pour nous et surtout nos enfants, par des actions irréversibles, pour limiter les impacts.
Quelles sont les prochaines étapes de la Convention ?
Il nous reste encore 5 jours de parcours d’ici fin octobre. L’objectif est d’établir une feuille de route permettant de faire évoluer nos business models en prenant en compte ces enjeux climatiques.
Y’a-t-il d’autres projets RSE en 2023 ?
Oui, nous allons continuer de nous améliorer sur notre quotidien, à travers plusieurs actions. Nous nous servons de la plateforme ZEI permettant de mesurer nos actions en matière d’environnement, de social et de gouvernance. Nous avons la possibilité grâce à l’outil, de les faire évoluer en temps réel et de définir des axes de progression et d’obtenir des préconisations de mesures à mettre en place pour atteindre l’excellence.
En parallèle, nous œuvrons à la sensibilisation de nos équipes et de leurs familles avec notamment la réalisation de fresques du climat des animations pour les enfants, la mise en avant de bonnes pratiques au quotidien en matière de zéro déchets, économie circulaires, recyclage etc.
Pour l’année 2023, nous avons alloué un budget de 100 000 € pour mener à bien ces actions.
Considérez-vous que vous soyez une entreprise engagée ?
Oui, nous jouons à 20 ans et nos ambitions sont fortes. L’engagement lié aux contraintes environnementales est ancré dans nos valeurs, nos pratiques. Depuis de nombreuses années déjà, nos équipes mènent des actions à impact positif, dont les résultats sont tangibles. Aujourd’hui, nous voulons aller plus loin encore, en continuant d’écrire l’histoire à travers notre business model, par amour des femmes, des hommes et de l’environnement.
Votre vision Delta assurances dans 5 ans ?
Nous devrons renoncer à des orientations business qui ne sont plus en phase avec notre vision. Nous prendrons des décisions et ferons des choix pleinement assumés, dont le fait d’intégrer la dimension RSE à nos solutions / offres d’assurances. Le train est en marche et le voyage est long !